EVEIL DU CITOYEN POUR LA SURVEILLANCE DE LA TRANSITION
Après 4 ans de guerre meurtrière qui a occasionné plus de 4 millions de morts ,la transition politique ,issue de l’accord global et inclusif connaît des pannes et des secousses. Et pourtant le gouvernement ,hydre à 5 têtes, formé d’anciens belligérants ,qui tenaient à se partager la dépouille de la Rdc a été accepté difficilement par le peuple congolais ,au de la paix dans le pays ,et dans l’espoir de nous conduire aux élections libres, démocratiques et transparentes.
Hélas ,à quelques jours de la date prévue pour l’organisation des élections ,les congolais se trouvent toujours coinces au mur du départ par les agendas parallèles des acteurs politiques.
Sur la feuille de route de la transition ,la sommation des activités réalisées par les uns et les autres donne jusque là une moyenne négligeable de timing consommé avec un pourcentage moyen des ressources financières mobilisées pour l’organisation des élections.
Les difficultés de cohésion et les divisions au sien des institutions de la transition ne font que s’accroître . les audits dans les entreprises publiques, le rapports de la commissions économique de l’en semblées nationale mettent à nu des graves détournements des deniers publics, la suspension des ministres impliqués dans la corruption et cité par ce rapport ,constituent autant des faits qui secouent la bonne marche de la transition et hypothèquent la tenue des élections dans le délai prévu.
Le pays est loin de se doter d’une armée intégrée ,républicaine, capable d’assurer la défense et la protection de l’intégrité territorial et de la souveraineté de la nation .
La récente agression déclarée et perpétrée par le Rwanda en RDC ,depuis novembre 2004, sous prétexte de déloger les interahamwes ,en instrumentalisant une frange des militaires de la région militaire du nord –Kivu ,et les combats sur le sols congolais contre les troupes de des FARDC autour de kanyabayonga, qui a son temps avaient gravement menacé la réalisation des objectifs de la transition .
Le peuple congolais doit se mobiliser pour exiger et obtenir l’organisation des élections générales dans le délai constitutionnel ,la paix totale à l’est du pays , le retour de toute les milices et bandes armées étrangers dans leurs pays respectifs .
Sinon rien de concret et de durable ne pourra être entrepris pour stabiliser le climat social ,politique et économique dans le pays.
C’est là le sens du cahier des charges que le Réseau D’éducation Civique en République Démocratique du Congo, RECIC en sigle, adresse à société civile et au peuple Congolais en ce moment ou la transition est de nouveau sérieusement menacée le fameux 30 juin 05.
Nous revenons encore sur ce que nous appelons avis de recherche d’un de nos animateurs membres du réseau porté disparu ,lui d’abord et ensuite le reste de sa famille, le 04 juin 04,pour lesquelles nous avons déjà fait beaucoup des recherche et communiquer sans succès .
Nous demandons à quiconque de bonne volonté aurais une trace d’information sur ces derniers de nous tenir informer .
L’intolérance ethnique en R.D.C.
En effet en date du 04 juin 2004, le Général Nkunda Batware et le Colonel mutebutsi déclenche la guerre de Uvia à Bukavu, avec comment raison la protection de population Congolaises d’expression rwandaise appelées communément Banyamulenge ou Rwandophone du sud Kivu menacées selon eux d’extermination par les autres communautés du Sud-Kivu .Oubliant que les Rwandophones sont éparpillés à travers toute la république démocratique du Congo de manière concentré dans la province du sud et du nord kivu en général et en particulier de manière isolée et complètement intégré dans tout le reste du pays et notamment à Kinshasa la capital de la rdc.
Les rwandophones de la rdc et même les rwandais immigrés au Congo ont toujours vécu dans l’harmonie avec les congolais en général et les autres ethnies de l’est de la rdc en particulier.
Tout à basculé avec la mort du président habiarimana qui se suivi par un terrible et ridicule crime contre l’humanité qui est le génocide perpétrés par les rwandais entre eux.
Les congolais n’étaient pas impliqués ni de loin ni de près à ce crime contre l’humanité .
Mais un constat amer fait que aujourd’hui nous constatons que les congolais en payent le prix.
Tantôt c’est sont les rwandais qui entrent au Congo avec des armes hautement sophistiquées ,tuent,pillent,violent les femmes et les filles et même les enfants d’autres congolais que les rwandophones dans le deux Kivu,le maniema et dans le nord katanga.
Cela a comme conséquence que les autres communautés se fond eux-mêmes justice quand ils en ont l’occasion sur les rwandophones pris en piège ,qu’il considèrent désormais comme des traîtres.
C’est ainsi que lors des aventures de nkunda et mutebutsi,les reste des congolais s’étaient révoltés à travers tout le pays à partir d’une marche déclanchée par les étudiants des universités et instituts supérieurs contre les rwandophones même les plus intégrés et contre les agents de la mission onusiennes au Congo Monuc en sigle. A cette occasion ils ont brûlés,cassés ,pillés les installations de la Monuc ; cette dernière par sa branches armée avait ripostées par des coups de bal en tuant quelques manifestants et qui ont fait plusieurs victimes par mis les congolais qui avaient été dénombrés et reconnus par la monuc et le gouvernement congolais.
Mais hélas ceux-là n’étaient pas les seules victimes ;car il y eu un cas malheureux d’intolérance regrettable d’un citoyens congolais rwandophone de l’ethnie tutsi originaire de minembwe dans le sud Kivu de la rdc .fonctionnaire de l’Etat au ministère de travaux publique et infrastructure au secrétariat général de la reconstruction matricule :498.275
Cet hommes du nom de djimmy bahnt nshagi né et grandi à kinshasa et ne connaissant aucun mot en kinyarwanda, alors qu’il se dirigé vers l’hôpital par ce que sa fille cadette était hospitalisée et gardée par sa maman et a même temps, il tentait de se diriger a son lieu de travail, par ce que non loin de l hôpital. il fût remarqué par sa morphologie tutsi et pourtant un congolais biens intégré. Pendant qu’il voulais prendre son transport en commun qui était presque inexistant ce jour là à cause de la marche violentes de la population vers le quartier masina à Kinshasa ;un groupe de manifestant crièrent un rwandais,voici un rwandais. Tout à coup la foule se jetèrent sur lui et commença à le frapper comme un serpent .quelques instant après il était grièvement blessé et la foule décidera de le faire passer au supplice de collier c'est-à-dire le brûler vif à l’aide d’un pneu de voiture et de l’essence.
Selon le témoignage d’un jeune hommes du nom de papy ngoma d’environs 19 ans témoin oculaire qui photographié l’événement par un appareil photo amateur , grâce au quel nous disposons des preuves de cette salle besogne horribles ,honteuse , inacceptable et d’une cruauté insoutenable.
Pendant qu’ils étaient sur le point de l’exécuter, les manifestant après l’avoir fait porter le pneu au coup et l’asperger de l’essence ;une série des jeeps militaire en patrouille, tira des coup des bals en l’aire et parvenant à disperser la foule et ils prirent l’homme dans des conditions inhumaines et l’amenèrent en le piétinant dans une jeep.
Depuis ce jour jusqu’à aujourd’hui nous n’avons plus eu des nouvelles de djimmy bahnt nshagi. Sa femme ,ses enfants et sa mère qui étaient sous sa charge se sont également déplacés. Notre frère congolais Dimmy bahnt Nshagi ,n’ était pas a son premier calvaire parce que bien avant en1997 lors de la guerre de libération du Zaire par Mzee Laurent Désire Kabila ,il fut arrêté par les soldats de Mobutu le considérant comme étant un rwandais, donc espions par ce que kabila était aidé par le rwanda. Dimmy bahnt nshagi fut torturé puis relâché après quelques jours passer dans des conditions purement sauvage .
La seconde fois c ‘était à l’ époque de kabila père lorsque le Rcd avait déclenché la guerre à l’ est de la Rdc ,les services de sécurité de kabila père l’enlevèrent et de nouveaux gravement torturé puis relâché plus tard par sa tonalité non rwandaise. je vous convie à regarder ces photos qui parlent d’elles-mêmes.

