Eveil du citoyen

La transition dans notre pays continue son chemin malgrès tout les évenements positifs ou négatifs engendrés par cette transition.
Nous sommes très contant de l'intêret que vous portez
très chèrs lecteurs à consulter ce site de la socété civile de la République Démocratique du Congo,rendue possible grâce à Alternatives.
Nous somme encore plus ravi, par l'attention que vous
accordez plus particulièrement aux publications du réseau
d'éducation civique au congo et aux questions combien pertunentes et aux démandes d'exiplications ou d'eclaircissement que vous ne cessez d'adresser à notre
adresse E-mail,qui se trouve sur ce site de la société
civile de la RDC.
La plus part des questions sont généralement adressées
au sujet de l'évolution; politique,sociale,des élections,de
l'éducation civique,de la sécurité pendant cette periode de la transition en République Démocratique du Congo.mais plus particulièrement aussi et avec beaucoup d'insistances au sujet de la vie d'un des nos animateurs(ainsi que de sa famille) de la société civile de la République Démocratique du Congo évoluant en RDC comme activiste de droit de l'homme,animateur du développement au sien d'une
dynamique sociale ongdh centre d'intégration pour les presonnes vulnérables cipv en sigle,encadreur des enfants de la rue et superviseur du projet et chargé de programme dans l'ong Humanité Nouvelle et commissaire au compte au sein du réseau d'éducation civique en RDC.
Son nom est Ntakalalua bahizire nshagi Ephrem djimmy,surnomé à l'universsité par ses camarades étudiants djimmy bahnt nshagi.
Il est originaire du sud kivu précisement de minembwe.
Il est née le 06 avril 1973 à kinshasa RDC.
Il est marié et père de plusièurs enfants.
Voici donc d'une manière synthètique, toute l'histoire
des calvaires véçu et subi par Ephrem Ntakalalwa
Bahizire dit djimmybahnt nshagi et sa famille depuis
1997 jusqu'au 10 juin 2005.
Nous sommes en 1997 en plein guerre en Répupblique Démocratique du Congo;guerre qui opposée l'AFDL,aidée par le Rwanda,l'Ouganda, le Burundi au regime du maréchal Mobutu.
à l'époque notre ami précité ci-haut était étudiant à l'université de kisangani.
Le 21janvier 1997,alors que les batailles s'approchaient de kisangani,la plus pard des personnes fuillaient déjà la ville de kisangani pour gagner les territoires de l'ouest de Rdc à l'époque non encore en état de guerre, Ephrem Ntakalalua Nshagi ephrem djimmy voulait régagner Kinshasa la capitale de la Rdc où se trouvée sa mère.
IL arriva à l'aéroport de Bongoka le 21 janvier 1997,où d'ailleurs attendaient des milliers des personnes qui eux aussi fuillaient la guerre vers kinshasa par ce que à cette époque la demande des voyageurs était de très loin superière aux moyens de transport aérien .
Les voyageurs pouvaient attendre jusqu'à plusièures semaines nuits et jours à l'aéroport,pour également prendre une aucasion des vols cargot,par ce que ils étaient très fréquents car ils transportaient le materielle de guerre, ntakalalua fut remarqué par sa morphologie nilotique par les militaires du Maréchal président Mobutu,puis arreté et considéré comme rwandais donc espions,il fut torturé pendant trois jours. Puis il proposa une sommes de 400 dollars americains grace à la quelle il eu la liberté.
La deuxième fois, c'était en 1998,lors du déclenchent de la geurre à l'est de la RDC par les dissidant de l'armée du président Mzée Kabila.Ntakalalua fut de nouveau arreté chez lui à la maison, par les services de sécurité.puis plus tard 7 jours après il fut relaché à cause de son accènt de langage vraiment kinois.
La troisième fois s'était le 04 juin 04.
En effet en date du 04 juin 2004, le Général Nkunda
Batware et le Colonel mutebutsi déclenche la guerre de
Uvia à Bukavu, avec comment raison la protection de
population Congolaises d’expression rwandaise appelées communément Banyamulenge ou Rwandophone du sud Kivu menacées selon eux d’extermination par les autres communautés du Sud-Kivu .Oubliant que les Rwandophones sont éparpillés à travers toute la République Démocratique du Congo de manière concentré dans la province du sud et du nord kivu en général et en particulier de manière isolée et complètement intégré dans tout le reste du pays et notamment à Kinshasa la capital de la RDC.
Les rwandophones de la rdc et même les rwandais
immigrés au Congo ont toujours vécu dans l’harmonie
avec les congolais en général et les autres ethnies de
l’est de la rdc en particulier.
C’est ainsi que lors des aventures de nkunda et mutebutsi, les reste des congolais s’étaient révoltés à travers tout le pays à partir d’une marche déclanchée par les étudiants des universités et instituts supérieurs contre les rwandophones même les plus intégrés et contre les agents de la mission onusiennes au Congo Monuc en sigle. A cette occasion ils ont
brûlés,cassés ,pillés les installations de la Monuc ;
cette dernière par sa branches armée avait ripostées
par des coups de bal en tuant quelques manifestants et
qui ont fait plusieurs victimes par mis les congolais
qui avaient été dénombrés et reconnus par la monuc et
le gouvernement congolais.
Mais hélas ceux-là n’étaient pas les seules victimes;car il y eu un cas malheureux d’intolérance regrettable d’un citoyens congolais rwandophone de l’ethnie tutsi originaire de minembwe dans le sud Kivu de la RDC.
Cet hommes ntakalalua alors qu’il se dirigé vers l’hôpital par ce que sa fille cadette était hospitalisée et gardée par sa maman et a même temps, il tentait de se diriger a son
lieu de travail, par ce que non loin de l hôpital. Il fût remarqué par sa morphologie tutsi et pourtant un congolais biens intégré. Pendant qu’il voulais prendre son transport en commun qui était presque inexistant ce jour là à cause de la marche violentes de la population vers le quartier masina à Kinshasa; un groupe de manifestant crièrent un rwandais, voici un rwandais. Tout à coup la foule se jetèrent sur lui et commença à le frapper comme un serpent. Quelques
instant après il était grièvement blessé et la foule
décidera de le faire passer au supplice de collier
c'est-à-dire le brûler vif à l’aide d’un pneu de
voiture et de l’essence.
Selon le témoignage d’un jeune hommes du nom de Papy
Ngoma d’environs 19 ans témoin oculaire qui photographié l’événement par un appareil photo amateur, grâce au quel nous disposons des preuves de cette salle besogne horribles ,honteuse , inacceptable et d’une cruauté insoutenable.
Pendant qu’ils étaient sur le point de l’exécuter, les
manifestant après l’avoir fait porter le pneu au coup et l’asperger de l’essence ;une série des jeeps militaire en patrouille, tira des coup des bals en l’aire et parvenant à disperser la foule et ils prirent l’homme dans des conditions inhumaines et l’amenèrent en le piétinant dans une jeep.pendant une periode de presque une années nous n’avions plus eu des nouvelles de djimmy bahnt nshagi. Sa femme, ses enfants et sa mère qui étaient sous sa charge s'étaient également déplacés.
Après une longue période de clandestinité dans le village de mokotopoko au Congo Brazzaville en face de bolobo en Rdc ,il repris son travail et au Recic kinshasa,à Humanité Nouvelle et son dynamisme social dans le centre d'intégration pour les personnes vulnérables.
Le centre d'intégration pour les personnes vulnérable est un mouvement qui a beaucoup d'objectifs entre autres la dénociation et la protestation des injustices sociles,la mauvaise gouvernace ect....
C'est dans ce cadre que le centre d'intégration pour les personnes vulnérables est parmis les principales dynamiques sociales qui dénocent et révendiquent énergiquement des mefaits de la mauvaiseuse gouvernance du gouvernement de transition en RDC.
le CIPV en tant que dynamique sociale très active avait participé à la planification et avait également marché le 30juin 2005.
Aujourd'hui encore,au lendemain du 30juin 05,les services de sécurités et de la police nationale continuent des arrêstations et des tracaseries des organisations et des personnes qui selon eux aient été à la base de cette marche; par une serie des percusitions à domicile.l'exemple le plus frappant est celui de EPHREM NTAKALALUA.Bahizire.
le lendemain de la marche du 30 juin05 un calme sembais revenir.
Dans la nuit du 09 au 10 juillet 05 les services de sécurités sont venue au domicile d'Ephrem pour l'arrêter ne le trouvant pas ils ont pris tout ce qu'il pouvaient prendre et ont désolé de le dire,même violé les fammes qui se trouvaient dans la maison. c'est pourquoi depuis le 10 juillet toute la famille de Ntakalalua est portée disparue.
Nous lançons donc un appel à quiconque aurait des information où des traces sur la vie de la famille de ntakalalua de nous tenir informer sur l'adresse e-mail se trouvant sur ce site.