DES GENOCIDES OUBLIES AUX PRIX DE TRAFICS D'ARMES ET DES RESSOURCES NATURELLES

Le Rwanda soutien la CNDP/RCD
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La présence du Rwanda aux côtés de CNDP/RCD de Nkunda Laurent en RDC
Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont capturé, à la suite des combats de Rumangabo, le mardi, 07 octobre 2008 dans la Province du Nord-Kivu dans la Région Est du Pays des effets militaires appartenant à l’Armée Patriotique Rwandaise. Selon le colonel Delphin KAHIMBI, Commandant adjoint de la 8ème Région militaire chargé des opérations, ces effets sont constitués des documents et pièces d’identité, des armes, des billets en Francs rwandais retrouvés sur des cadavres, du matériel militaire de campagne et des équipements individuels de l’armée rwandaise.

Massacres des hutus rwandais en RDC
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300 000 Hutu ont été tués dans les forêts à l’Est de la République Démocratique du Congo. À l’heure actuelle, la communauté hutu parle de la condition d’un dialogue interrwandais. Jusqu’à présent, les enquêtes n’ont pas été réalisées sur ces genres de massacres sur les hutus. Beaucoup de documents de Nations Unies et des Organisations des droits de l’Homme attestent l’existence de ces massacres.

Massacres des citoyens congolais au prix des ressources naturelles
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5000 000 des citoyens congolais ont été tués depuis le 2 août 1998 à ces jours. Les rapports des organisations des droits humains, de la Mission des Nations Unies en RDC et les Rapports des Rapporteurs spéciaux ainsi que le Groupe d’Experts indépendants sur la République Démocratique du Congo sont autant des témoignages neutres.

Forum de la Société Civile en RDC
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Les organisations non gouvernementales (ONG) de la société civile congolaise se félicitent de la position ferme des Etats et institutions internationales qui condamnent et rejettent les propos extrémistes du Congrès National pour la Défense du Peuple (CNDP) et soutiennent les institutions de la République Démocratique du Congo (RDC) issues des élections organisées en 2006.

Elles dénoncent la manipulation du tribalisme et l’exploitation abusive de la sensibilité ethnique par le chef du groupe armé CNDP, Laurent Nkundabatware Mihigo ; et condamnent la terreur et l’intimidation qu’il exerce contre la majorité des Tutsi congolais qui sont contre la guerre.

En outre, les ONG dénoncent le recrutement, aux fins de les impliquer de force dans les hostilités, des enfants du Rwanda, de l’Ouganda et de la RDC ; et la prise en otage de la population civile comme bouclier humain par le CNDP, nonobstant la persistance des souffrances endurées par les victimes.

Les ONG prennent note particulière des déclarations de la MONUC, de l’Union Européenne, de le Belgique, de la Communauté des Banyamulenge et des Etats Unis d’Amérique du 06 octobre 2008. Dans un communiqué du département d’Etat, les Etats-Unis « condamnent et rejettent les propos tenus par le général Laurent Nkundabatware Mihigo, chef du CNDP, selon lesquels le CNDP aurait l'intention de renverser le gouvernement élu et universellement reconnu de la RDC. Les États-Unis demandent à la communauté internationale de soutenir le gouvernement de la RDC au moment où il cherche à consolider sa démocratie et à affermir sa capacité de gouverner avec justice sur tout son territoire. Les États-Unis s'opposent à tous ceux qui visent à fomenter l'instabilité en RDC ». De même, l’Union européenne s'« inquiète » du regain des violences dans les provinces du Nord et Sud-Kivu et des appels au « renversement » du gouvernement par le chef rebelle Laurent Nkunda. Point de vue que la Belgique condamne fermement par le Ministre Karel De Gucht qui considère ces propos d’irresponsables et appelle une nouvelle fois le CNDP à respecter ses engagements et à réintégrer immédiatement le processus de paix de Goma.

Les organisations de la société civile de la RDC invitent les pays membres de la région des Grands Lacs, de la SADC, de la CEEAC, de l’Union Africaine et de l’Organisation des Nations Unies de considérer dorénavant le CNDP comme une force négative extrémiste.

Les organisations de la société civile du Congo appellent tous les Etats et institutions qui militent pour la paix et la justice dans le monde à faciliter l’exécution du mandat d’arrêt international de la Cour Pénale Internationale (CPI) lancé contre certains officiers du CNDP dont Bosco Ntaganda, le commandant second du CNDP, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, notamment le viol massif avec violence sexuelle sur des femmes et massacre des civils.

Elles appellent la Présidence de la République, le Parlement et le Sénat à utiliser les prérogatives constitutionnelles pour mettre fin à la rébellion de Nkunda en tenant compte du processus de la Tripartite Plus, de l’accord de Naïrobi et du plan global de désengagement de la Monuc.

Enfin, les ONG invitent le Conseil de sécurité à solliciter un mandat d'arrêt international auprès de la CPI contre Laurent Nkundabatware Mihigo pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, en l’occurrence l’attaque délibérée contre la population civile, viol massif et l’enrôlement des enfants soldats.

Preuves de la présence rwandaise en RDC
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Devant le Gouverneur de la province du Nord-Kivu et en présence du Coordonnateur National du programme Amani, le colonel KAHIMBI a indiqué que ces éléments retrouvés sur le théâtre opérationnel constituent la preuve que des troupes rwandaises travaillent aux côtés des éléments du CNDP. Reconnus par leurs inscriptions en anglais et en Kinyarwanda, ces effets présentent également leur origine rwandaise, les unités au sein desquelles opèrent les troupes et même les ordres de mission des soldats engagés sur le champ de bataille. Après le retrait des éléments de l’armée rwandaise de Rumangabo, camp militaire de la FARDC se situant non loin des frontières entre le Rwanda et la RDC, il y a eu divers éléments qui ont été recupérés par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, notamment :
1) Des cartes d’assurance maladie délivrées par le ministère rwandais de la défense
2) Des ordres de mission des éléments du bataillon des forces spéciales rwandaises avec cachet authentique
3) Des registres de feux de l’armée rwandaise
4) Une table de tir mortier 60 millimètres prévue pour l’opération de Rumangabo
5) Des détonateurs électriques destinés à saboter les infrastructures
6) Des carnets de cours des armes lourdes récupérés

Pour ce qui est de l’armement utilisé par les assaillants à Rumangabo, quelques armes R4 et AK 47, des grenades et munitions jamais utilisées par les FARDC ont également été présentées à la presse, ce vendredi à Goma.
Quelques matériels de campagne constitués essentiellement des pelles d’infanterie utilisées au Darfour (Sud-Soudan) ont été surpris dans le lot des matériels trouvés sur les soldats morts ou partis de Rumangabo.

Au chapitre des équipements individuels, le colonel chargé des opérations à la 8ème Région militaire fraichement revenu du front de Rumangabo a montré à la presse des équipements tels que les porte-roquettes (besaces militaires) portant la marque RDF (Rwanda Deffence Forces), des tenues complètes RDF, des jaquettes, des imperméables griffés Darfour, des képis, ceinturons, gamelles et gourdes militaires.

Toutes ces preuves, a dit le colonel KAHIMBI, attestent bel et bien que l’armée congolaise a fait face à l’armée du RWANDA. Il ajoute que des populations confirment avoir vu l’avancée des rangées des colonnes des militaires rwandais armés d’équipements sophistiqués, en appui aux éléments du CNDP de Laurent NKUNDA.

Pour le Gouverneur du Nord-Kivu, cette démonstration qui rejoint le point de vue du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la participation de l’armée rwandaise aux combats dans la province du Nord-Kivu doit être connue par tous les congolais afin que les rumeurs cèdent la place à la vérité.

Pour ce qui est de l’armement utilisé par les assaillants à Rumangabo, quelques armes R4 et AK 47, des grenades et munitions jamais utilisées par les FARDC ont également été présentées à la presse, ce vendredi à Goma.

Quelques matériels de campagne constitués essentiellement des pelles d’infanterie utilisées au Darfour (Sud-Soudan) ont été surpris dans le lot des matériels trouvés sur les soldats morts ou partis de Rumangabo.

Au chapitre des équipements individuels, le colonel chargé des opérations à la 8ème Région militaire fraichement revenu du front de Rumangabo a montré à la presse des équipements tels que les porte-roquettes (besaces militaires) portant la marque RDF (Rwanda Deffence Forces), des tenues complètes RDF, des jaquettes, des imperméables griffés Darfour, des képis, ceinturons, gamelles et gourdes militaires.

Toutes ces preuves, a dit le colonel KAHIMBI, attestent bel et bien que l’armée congolaise a fait face à l’armée du RWANDA. Il ajoute que des populations confirment avoir vu l’avancée des rangées des colonnes des militaires rwandais armés d’équipements sophistiqués, en appui aux éléments du CNDP de Laurent NKUNDA.

Pour le Gouverneur du Nord-Kivu, cette démonstration qui rejoint le point de vue du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la participation de l’armée rwandaise aux combats dans la province du Nord-Kivu doit être connue par tous les congolais afin que les rumeurs cèdent la place à la vérité. Des ordres de mission des éléments du bataillon des forces spéciales rwandaises avec cachet authentique

Les FARDC présentent les preuves de la présence des troupes rwandaises à Rumangabo (RDC)

11-10-2008

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont capturé, à la suite des combats de Rumangabo, le mardi, 07 octobre dernier au Nord-Kivu, plusieurs effets militaires appartenant à l’armée rwandaise.
Selon le colonel Delphin KAHIMBI, Commandant adjoint de la 8ème Région militaire chargé des opérations, ces effets sont constitués des documents et pièces d’identité, des armes, des billets en Francs rwandais retrouvés sur des cadavres, du matériel militaire de campagne et des équipements individuels de l’armée rwandaise.
Devant le Gouverneur de la province du Nord-Kivu et en présence du Coordonnateur National du programme Amani, le colonel KAHIMBI a indiqué que ces éléments retrouvés sur le théâtre opérationnel constituent la preuve irréfutable de l’implication des troupes rwandaises aux côtés des éléments du CNDP. Reconnus par leurs inscriptions en anglais et en Kinyarwanda, ces effets présentent également leur origine rwandaise, les unités au sein desquelles opèrent les troupes et même les ordres de mission des soldats engagés sur le champ de bataille.
Au chapitre des documents de preuves, des cartes d’assurance maladie délivrées par le ministère rwandais de la défense, des ordres de mission des éléments du bataillon des forces spéciales rwandaises avec cachet authentique, des registres de feux de l’armée rwandaise, une table de tir mortier 60 millimètres prévue pour l’opération de Rumangabo, des détonateurs électriques destinés à saboter les infrastructures et des carnets de cours des armes lourdes ont été récupérés, après le retrait des éléments de l’armée rwandaise de Rumangabo.

Pour ce qui est de l’armement utilisé par les assaillants à Rumangabo, quelques armes R4 et AK 47, des grenades et munitions jamais utilisées par les FARDC ont également été présentées à la presse, ce vendredi à Goma.
Quelques matériels de campagne constitués essentiellement des pelles d’infanterie utilisées au Darfour (Sud-Soudan) ont été surpris dans le lot des matériels trouvés sur les soldats morts ou partis de Rumangabo.
Au chapitre des équipements individuels, le colonel chargé des opérations à la 8ème Région militaire fraichement revenu du front de Rumangabo a montré à la presse des équipements tels que les porte-roquettes (besaces militaires) portant la marque RDF (Rwanda Deffence Forces), des tenues complètes RDF, des jaquettes, des imperméables griffés Darfour, des képis, ceinturons, gamelles et gourdes militaires.
Toutes ces preuves, a dit le colonel KAHIMBI, attestent bel et bien que l’armée congolaise a fait face à l’armée du RWANDA. Il ajoute que des populations confirment avoir vu l’avancée des rangées des colonnes des militaires rwandais armés d’équipements sophistiqués, en appui aux éléments du CNDP de Laurent NKUNDA.
Pour le Gouverneur du Nord-Kivu, cette démonstration qui rejoint le point de vue du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la participation de l’armée rwandaise aux combats dans la province du Nord-Kivu doit être connue par tous les congolais afin que les rumeurs cèdent la place à la vérité.

Il y a des photos qui soutiennent ces affirmations

Sources:
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Sylvestre SOMO MWAKA
Human Right Defender of the Democratic Republic of Congo.
Tel: +55 31 33133061, Fax: 0017755996606
Portable: +55 31 98350142