Les associations des droits de l’homme s’insurgent contre les restrictions de liberté

Le président du MDC, Gabriel Mokia se trouve toujours en tôle. Et depuis lors, les associations des droits de l’homme ne cessent de dénoncer cette arrestation, la qualifiant non conforme à l’esprit et la lettre de l’accord global et inclusif qui donne droit à chaque individu de s’exprimer librement.

Cette attitude de brimade du pouvoir en place, selon certains observateurs, est similaire aux actes posés par le pouvoir afdélien ou le leader de l’UDPS M. Etienne Tshisekedi était relégué dans son village natal et quelques membres influents de son parti ont été torturés et arrêtés par les services dites de sécurité.

Selon certaines sources d’information, M. Ilunga Léonard et sa famille sont inquiétés pour leur appartenance à l’UDPS. Il en est de même de plusieurs militants et militantes portés disparus lors du meeting organisé par ce parti au mois de février 2002. Tel est le cas de Madame Matumona Emilie, fervente combattante, victime à cause de ses positions tranchantes. Raison pour laquelle, l’UDPS demande à ce réseau véreux de services de sécurité et au gouvernement en place de laisser le peuple congolais la liberté d’adhérer au parti politique de leur choix.

Il est à souligner que la sauvegarde des droits et libertés en cette période de transition politique en RDCongo est l’affaire de l’Homme congolais car chaque congolais a le devoir de dénoncer et de combattre l’injustice.

LSG