LA JUDAISATION DES TUTSIS: NOUVELLE IDENTITÉ POUR LA CONQUETE DELA REPUBLIQUEDEMOCRATIQUE DU CONGO

Depuis un certain temps, une nouvelle et funeste identification porteuse de retombées à la fois politiques, stratégiques, ethniques etsociales est née chez les Tutsis du Rwanda, du Burundi et del'Ouganda. Il s’agit de la revendication d'une identité juive, une manœuvre orchestrée par eux de manière magistrale et destinée à imposer au reste de l’humanité terrestre leur métamorphose en « Tutsis hébreux » avec toute la charge émotionnelle, le poids historique, les dividendes politiques et stratégiques, les connotations religieuses et le conditionnement mental que draine un tel apparentement( Israéliens,peuple de Dieu, peuple saint etc. ).
La thèse opportuniste de l’existence d’une parenté
ethnique entre les Tutsis et les Hébreux, forgée dans des officines secrètes,fait actuellement son bonhomme de chemin. Il serait tragique pour les Bantus de s’imaginer que tout cela relève d’un pur hasard alors qu’en réalité, cette idée, aussi extravagante et farfelue qu’elle paraisse de prime abord, coïncide parfaitement avec les causes et les enjeux des guerres qui bouleversent et ensanglantent la région de Grands-lacs africains.Dépourvus de toute conscience ethnique dans leur écrasante majorité, les Bantus, leurs leaders
politiques ou d’opinion, leurs intellectuels, leurs hommes de science, leurs banquiers et capitaines
d’industrie, de même que leurs autorités civiles et religieuses, tous seraient enclins à afficher une attitude de méfiance instinctive devant une telle affirmation.Dans leur schéma mental pour tenter de comprendre et d’expliquer l’immense tragédie de la guerre qui ravage les pays des Grands Lacs africains, jamais il ne leur serait, en effet, venu à l’idée d’inclure le facteur ethnique alors qu’au Rwanda et au Burundi, pays d’oùsont partis les conflits, rien ne peut se comprendreet s’expliquer si on prend le risque d’écarter ceparamètre. Dans la foulée, tout le monde confond allègrement nationalité et appartenance ethnique, deux
notions pourtant bien distinctes mais qui sont imprudemment et indifféremment utilisées l’une pour
l’autre . Rien d’étonnant à cela : la paresse et le
conformisme intellectuel des Bantus sont bien connus
Par contre, si l’on prend la peine de se livrer à une observation quelque peu approfondie et impartiale, la revendication d’une parenté juive par les Tutsis suscite une série de questions fondamentales sur
les causes des malheurs qui frappent l'Afrique centrale.
A la lumière des révélations récentes du journal
canadien National Post sur les vrais déclencheurs du
génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts
pendant plus de deux ans par l'ONU, la conspiration internationale hourdie par Kagame pour allumer et entretenir la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Dans cette entreprise guerrière, le Chef d’Etat rwandais n’agit pas seul. Il est en effet secondé par ses homologues tutsis burundais et ougandais, tous les trois partisans de la philosophie
selon laquelle tous les moyens sont bons pour
conquérir le cœur de l'Afrique.
Le processus de judaïsation des Tutsis, ausculté à la
lumière des guerres qui secouent la région des
Grands-lacs africains apparaît comme une arme fatale,
à la fois redoutable et imparable, pour ’accomplissement de leurs futurs desseins. Les
stratèges tutsis ont vu juste, leurs calculs se sont
révélés tout à fait exacts puisqu’ils occupent
désormais, à l’insu de Bantus congolais, d’importantes fonctions à la tête des plus hautes institutions politiques, militaires et sécuritaires du pays.
Presque deux ans après le renversement de la dictature
de Mobutu au Congo, quatre ans après l'assassinat de
Melchior Ndadaye au Burundi et quatre ans après
l'assassinat du président Juvenal HABYARIMANA, voilà
en effet que, comme par hasard, "Jerusalem Post" dans
son édition du 23 novembre 1998 déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait
sous forme de rumeur depuis un certain temps: " Nous
invitons la Communauté Internationale à condamner et à prendre des actions contre toute violence anti-israélite perpétrée par les non-israéliens à travers l'Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi-Hébreux Israéliens au Rwanda".
La déclaration contenue dans l’article du journal juif
a contribué à donner un aspect certainement inattendu,
mais terriblement inquiétant à la crise qui paralyse l'Afrique centrale et en particulier le Congo.
Mardi 11 mai 1999, le journal canadien National Post
publiait à la page 17, un grand article sur les Hema,
un autre peuple noir, qui allègue certifier, après
analyses, que selon les gênes sanguins qui déterminent l'hérédité, ils
seraient des juifs noirs descendants de Aaron, le frère de Moïse.L'article cite David B. Goldstein, un juif, généticien à Oxford (Angleterre) qui, selon le National Post aurait affirmé que « Le problème est qu'il y a eu des mixages avec les populations hôtes, ce qui a obscurci leur ascendance ». Cette façon de recourir à des termes tels que « mixage », « population hôte » et «
obscurci leur ascendance » comporte, c’est le moins
qu’on écrire une forte connotation raciste ; pourtant,
aucune protestation n’a été enregistrée contre le
spécialiste en génétique humaine. Il est vrai que
depuis 1945, on permet tout aux Juifs. selon ’entendement de leur savant généticien qui exerce
dans la célèbre université anglaise, certains ancêtres
de Juifs auraient sauvegardé la pureté de leur race
tandis que d'autres auraient failli et se seraient
mélangés à d’autres, obscurcissant ainsi,c’est-à-dire, noircissant le sang et les gênes originels suite à des croisements avec des sujets négro-africains.
UNE CONFERENCE DANS LA CONFIDENTIALITE
Dimanche 10 octobre 1999, une réunion est annoncée a Bruxelles dans la plus grande discrétion: c'est la conférence de Havila. Le lieu aménagé pour la onférence est le prestigieux Centre de éminaires 'Hôtel «Mercure» situé en « bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon belge » .
Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons
que « Havila » est le mot spécifique attribué à la
région des Grands-lacs par ce mouvement de judaïsation
des Tutsis.La conférence dite « inaugurale des activités
académiques del'Institut de Havila » s'annonce par la proclamationde la judaïsation de tous les Tutsis » et s’articule autour des thèmes révélateurs suivants : « Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila: l'Etoile deDavid » ; « Caractéristique des États modernes d'Israël et du Burundi »; « Les Tambours de Salomon ont les Souverains shebatiques de Havila sont les gardiens », « Autour des sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil) ; « Un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix commandements de Moise) qui sont la marque de l'Alliance mosaïque et la figuration de la «mémoire perdue» des peuples hébraïques de Havila »
L'INSTITUT DE HAVILA
A l’insu des Congolais en particulier et des Bantus
africains en général, un « Institut des GRANDS-LACS »
existe depuis un certain temps et regroupe dans la
plus grande discrétion les grands intellectuels tutsis
à travers le monde. Dans les milieux tutsis, il
s'appelle « Institut de Havila » et « rassemble pas
moins de sept centres de Recherche, d'Intervention et
de Rayonnement, implantés sur presque tous les
continents ». Ces centres ontl'objectif commun de restituer et de faire revivre la «mémoire perdue» des douze codes hébraïques qui ont caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.), censés être les gardiens des Mines du Roi Salomon'. Chacun des sept centres de l'institut de Havila a sa mission. Selon l'importance des sept centres de l'institut de Havila, mentionnons:
1) Le Centre «GEDEON»: qui fonctionne comme un «observatoire de la situation sécuritaire et
stratégique des peuples shébatiques de Havila » Il fait régulièrement rapport à l'Institut afin que les membres de Havila s'habituent à garder les pieds sur terre, d'avoir l'œil rivé sur les contradictions de l'histoire présente faites de crises transitionnelles etd'affrontements armés.
2) «Le Centre «ROI SALOMON», s'occupe de l'Analyse
économique et financière dans Havila. 'Comme par
hasard, devons-nous rappeler des expressions
véhiculées par les promoteurs de cette conquête en
Afrique centrale: "Mines du roi Salomon" (le Kivu),
les 'Pipelines du Roi Salomon' (projet en cours avec
le gouvernement Kabila pour offrir l'eau du Fleuve
Congo à Israël) . Fondamentalement, comme pour le cas
du nom "Mulenge" dans la guerre actuelle qui a
commence au Kivu, la mission que se donne « le Centre
Roi Salomon » de l'Institut Havila, soulève la
curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en
tant que peuple.
3) Le Centre «HAKIM» qui s’est donné pour objectif de rassembler des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Écologie, tous chargés d'étudier les conditions des écosystèmes dans lesquelles ont émerge les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d'alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait qu’à cette époque, ces peuples comptaient parmi
eux un pourcentage très élevé de centenaires, comme
les caucasiens.
4) Le Centre «MULENGE» qui a reçu la mission de maîtriser ce qu'on appelle les Nouvelles Technologies
de Communication. Il doit rassembler la documentation,
les pièces d'archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l'Institut. Le Centre d'«ISHMGO», qui appuie , s'occupe notamment des questions logistiques ; il est charge entre autres de collecter des pièces de Musée caractéristiques des peuples anciens de Havila, d'organiser des manifestations culturelles et folkloriques spécifiques uxcivilisations de Havila, de faire fonctionner la «Fabrique d'Ishango» au sein de laquelle des artisans spécialisés reconstituent l'art t 'artisanatsalomonique de Havila
5) Le Centre «TECHOUVHAH» s'occupe de la connexion
mémorielle des peuples shébatiques du Nil Blanc :
Havila (GRANDS-LACS) et du Nil Bleu : Guihon
(Éthiopie, Somalie, Érythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria),
6) Le Centre «SACEGA» qui est chargé de raviver le
souvenir de l'institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton "Intahe" rappelle "la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l'antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coulés dans des traditions multimillénaires, jusqu'ici épargnées de toute tentative de décodage systématique".
7) Le Centre «BILKIS-REINE DE SABA» qui avait organisé
cette conférence, est chargé de l'Analyse et de l'Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila;
Pour les Tutsis, la prophétie a ses caractéristiques:
pas le retour historique vers Israël « mais le retour
vers l' Israël prophétique » que figure la «Techouvha», « l'espérance de la réunification des
"Tribus perdues d'Israël " qui est l'espérance
mystique centrale du peuple d'Israël, dispersé aux
quatre coins de la terre, depuis la destruction du
premier Temple et la déportation à Babylone (-586) qui
marque la dispersion dans les Nations ».
Les sources de GRANDS-LACS Confidentiel indiquent que
les grands intellectuels tutsis ont célèbre le «troisième millénaire », par « la réunification
physique des tribus perdues de Havila, de Guihon et du
Fouta Djalon » . Un »gigantesque festival » s’était tenu pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2
novembre 1999) à AGULERI dans l'Igboland (au Nigeria).
Pour bien marquer la référence historique, cettepériode est conforme à la fête juive de la sortie de l'esclavage d'Égypte
LES ORGANISATEURS
Retenons quelques noms: l'-African Hebrew
Organisation', la 'King Solomon Sephardic Federation
(KSSF) ' et la diaspora juive rassemblée dans le
"Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY"
LA BIBLE, LES MYTHES ET LES FAUSSES PROPHETIES
Vendredi le 18 septembre 1998, dans un article
intitulé « L'or du Kivu, enjeu caché du conflit en RDC
l’Agence France Presse écrivait: « Une légende
vivace dans l'est congolais situe les mines d'or du
roi Salomon dans cette zone' (Kivu), territoire qui
alors était et qui reste encore sous le contrôle
jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de facto. Aujourd'hui comme alors, le pillage de l'or du Kivu battait son plein ».
Une autre version veut que ceux qui appuient les
Tutsis dans la guerre de conquête au Congo-expliquent l'invasion actuelle au Congo par la bible. En effet, à la conférence de Havila, quelques versets bibliques furent lus: le livre de l'Exode 4, 17; 17, 5; 3,10; 3, 16-20 et 17, 5-7.
Selon eux, « la guerre actuelle de conquête tutsie
dans la région de grands-lacs, « HAVILA », et surtout
au Congo est « un fait prophétique, une volonté de
Dieu d'Israël « . Et pour preuve, ils se réfèrent au
livre biblique d'Essaie, chapitre 18, verset 1-2 qui, assurent-ils, vient à l’appui de leur entreprise guerrière.
Ici on parle des « peuples de grande tailles »,
compris et interprétés aujourd’hui comme étant les tutsis, qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l'Éthiopie (le Congo) . Cette région
serait donc l'actuelle région des Grands-lacs africains ou simplement en termes tutsis- hébreux: «
la terre sacrée de Havila », « la mémoire perdue des
douze codes hebraïques des peuples kushites de
l'Abyssinie Méridionale comprenant le Rwanda, le
Burundi, le Buha, l’Ankole, le Buhavu, etc. »
UN NOM NOUVEAU, L'EMPIRE HIMA-TUTSI
Selon un document confidentiel parvenue à GRANDS-LACS Confidentiel (Glac), les ambitions d'un empire hima sont plus réelles que nos lecteurs ne peuvent se l'imaginer. La région des Grands-lacs est désormais désignée sous une nouvelle appellation: « HAVILA »,la terre sacrée de Havila » ou « la mémoire perdue des douze codes hébraïques des peuples kushites de l'Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha,Ankole, Buhavu, etc.
Géographiquement, partant de cette dernière citation,la terre sacrée de Havila se dessine comme suit; -
Rwanda: l'actuel Rwanda, pays des mille collines avec capitale Kigali, - Burundi: capitale Bujumbura, -Buha: du nom Baha ou Muha (au singulier); peuple de la Tanzanie occidentale. Par extension, Buha désigne la Tanzanie. - Ankole: région de l'Ouganda occidental habite majoritairement par les Banyankole, tribu laquelle le Président Museveni s'identifie par truchement. - Buhavu: Région habitée par les Bahavu
c'est-à-dire l'actuelle région du Kivu de la République démocratique du Congo. Le nom du chef-lieu du Sud-Kivu, 'Bukavu' serait une déformation du mot Buhavu.
L'Empire des 'tutsis-hebreux', 'la terre sacrée de
Havila' (la région des grands-Lacs africains)englobera donc les pays suivants: Rwanda, Burundi,
Buha (Tanzanie), Ankole (Uganda), Buhavu (Kivu,
province orientale du Congo), etc.
LES TENORS DE LA CONFERENCE
Que le lecteur se démystifie de la légèreté de cet
empire hima-tutsi. Pour fait, les maîtres à penser de
cet empire sont, comme il pourra le constater en
prenant connaissance de l’identité des principaux
animateurs de la conférence de Havila, des personnalités hautement instruites qui, non seulement
ont tissé des relations avec certains groupes juifs,mais aussi avec plusieurs partenaires occidentaux, politiques, économiques, financiers, bancaires et industriels et militaires qui leur permettront de réaliser leur projet au prix des richesses abondantes dont regorgent ces États.
A titre d'exemple, nos sources indiquent que depuis la
prise de Kindu en RD Congo, en octobre 1999, Paul Kagame a exporté au Rwanda "950 tonnes de cassitérite
traitée en laboratoires, 280 tonnes de
colombo-tantalite (pillées à la SOMINKI), 11.000
tonnes de maïs, 4.500 fûts d'huile de palme; de quoi
se nourrir suffisamment, consolider les alliances et
acheter des nouvelles armes pour massacrer les congolais".
Parmi les grands ténors de l'Institut de Havila citons
entre autres:
1. Jean BWEJERI: " Professeur, universitaire de haut
vol, connu dans le monde de l'enseignement et de la
recherche depuis une • quinzaine d'années. Formé à
l'École de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les
formes de la Pragmatique linguistique, de l'Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum de son temps et de ses compétences à la recherche post-universitaire orientée
vers la trans-disciplinarité en sciences humaines,
ratissant d'une traite les champs de la critique
littéraire et textuelle, de la Nouvelle Linguistique,
de l'Analyse du Discours, de l'Histoire ancienne et moderne, de l'Anthropologie africaine, de l'Analyse
sociologique et politique, de l'épistémologie contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine.
2. Maître Matthias NIYONZIMA: " Avocat au Barreau de Bruxelles. Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye, ce brillant avocat enseigne actuellement à l'Université de Nantes. Il est écialiste des questions relatives au Droit Africain Comparé, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce nternational.
3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux: Coordonnateur
du Centre GÉDÉON pour la Stratégie et la Défense dans
Havila. " Ce jeune officier est spécialiste en criminologie et en Études de stratégie militaire. Il a
obtenu ses diplômes universitaires et militaires à
l'École Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de
mettre ses capacités d'analyse et d'engagement a la disposition de l'Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre, de faire comprendre au monde entier et de traiter l’opinion publique internationale sur ce qui se passe sur le terrain, en termes de stratégies géopolitiques et d'opérationsmilitaires.
4. Monsieur Gaspard KIROMBO: Coordonnateur du MULENGE>- " Lauréat de la Faculté des Sciences Politiques et Sociales de l'UCL, et diplômé des Sciences Religieuses de la même Université, Monsieur KIROMBO avait accepte d'être Modérateur de cette Conférence inaugurale
5. Le même document confidentiel, mentionne aussi « la diaspora juive rassemblée dans le Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY »
D'autres sources nous indiquent que parmi les
conseillers stratégiques pour l'édification et l’implémentation de l'empire Havila, on retrouve des personnalités comme Kimenyi Alexandre
(Professeur, américain d'origine tutsi-rwandaise), Deogratias Bugera (ancien réfugié rwandais au Congo qui passe pour un Munyamulenge), Bizimana Karahamuheto (cousin de Kagame, originaire du Rwanda, un autre
Munyamulenge, Jerôme Gapangwa Nteziryayo (Evêque
d'Uvira, Docteur en Histoire Ecclésiastique) et
quelques hommes d'affaires tutsis.

LES FAITS DE LA GUERRE
Le prestigieux journal tanzanien 'Daily Mail', dans
son édition du 14 janvier 1999 sous le titre de «
George Bush, Museveni own shares in Congo mines »
publiait un article dans lequel il pointait du doigt
un ancien général de l'armée israélienne David Agmon
comme l'un des hommes qui pillent les minerais dans le territoire congolais occupé par le Rwanda. Des sources fiables ont indiqué à GRANDS-LACS Confidentiel que les armes qui ruinent le Congo viennent de la Roumanie, des États-Unis et d' Israël.
Elles sont envoyées au Rwanda et à l'Ouganda sous le
prétexte et dans « le cadre » de la « coopération
bilatérale militaire » avant d'être acheminées au
Congo par le Rwanda ou l'Ouganda.Les mêmes sources indiquent que certains dignitaires du gouvernement israélien fournissent à Museveni et Kagame appui diplomatique, aides financières et assistance militaire . La Panafrican News Agency (PANA), dans un article daté du 27 janvier 2000 est venue renforcer ce qui était alors repris comme une simple rumeur par l’AFP. Annonçant un projet consistant à drainer l'eau du fleuve Congo pour l'offrir gratuitement aux Israéliens, la PANA a révélé que le projet prendrait le même nom juif qui véhiculait les mythes des minerais au Kivu. Le projet de l'eau du fleuve Congo s'appellerait : « les pipelines de Salomon ». Ce projet ambitieux qui mettrait ensemble certains congolais de la diaspora et des hommes d'affaires américains est une entreprise qui ne convainc que ses initiateurs. A
la lumière des origines de la guerre actuelle au Congo et les conséquences sur sa population, est-il acceptable que quelques ministres du gouvernement congolais en guerre, décident, sans consulter la
population, d'une question aussi capitale et importante que l'eau du fleuve Congo, question quiimplique toute la vie d'une nation pendant de nombreuses générations à venir de toute évidence, le Congo n'a pas vraiment de
spécialistes environnementaux ou d’hydrologues capables de démontrer hors de toute contestation possible que le projet 'Salomon Pipeline', tel que c'est conçu, n'aura pas d'impact positif sur le Congo et sa population dans les décennies à venir. Par contre, ceux qui, de manière égoïste, en tireront de plantureux profits financiers n'auront pas de peine à faire avaler aux Congolais
qu'il n'y aura aucun danger ou impact négatif sur l’ environnement. dans les pays organisés, une question comme celle de 'SalomonPipeline' aurait engendré un grand ébat national etnécessité un referendum pour recueillir l'opinionpopulaire.
Au bureau de Westrac (la compagnie du projet 'Salomon Pipeline'), on se contente d'expliquer cela avec une extrême légèreté simplificatrice: « C'est l'eau qui va ramener la paix » au Congo (car
Salomon signifierait paix). C'est un projet qui va transformer le Congo, moins que ne l'ont fait ses fils et filles pendant les40 dernières années; avec la construction d’églises, de mosquées, d’hôpitaux, d’infrastructures portuaires et aéroportuaires, de parcs, de logements, de centres commerciaux etécoles'.

CONNECTION AUX MEDIAS BELGES

Au lendemain de la conférence de Havila, les
connections tutsies belges font diffuser par «
coïncidence historique » à la chaîne culturelle
francophone «Club RTL» le célèbre long métrage
d'Andrew COMPTON et Bennett MARTON consacré aux
Batutsi de Havila, sous le titre évocateur de: « Les
Mines du Roi Salomon ». Avec Havila « tout n'est pas
fini », « quelque chose de nouveau commence », un
réseau qui tisse des connivences avec les Américains,
les Juifs, les Belges etc. pour disloquer le Congo et
mieux dominer la région des Grands-lacs africains. Le président Laurent-Désiré Kabila avait tout compris quand il avertissait d'avance les Congolais que la guerre allait » durer longtemps. »