Congo (RDC)

DES LECONS MERVEILLEUSES QUE PAX JUNIORS A TIREES DE LA RESOLUTION DES CONFLITS CHEZ LES BOCHIMANS

Depuis la nuit des temps, des conflits de toutes sortes se déclenchent au sein des communautés humaines. Comme nous l’avions écrit dans notre article publié sur ce portail et intitulé « NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES CONFLITS », les différends qui opposent des individus et des groupes des personnes sont naturels, normaux et neutres. « Seul un recours systématique à la tierce partie (gens de la communauté) permettra aux hommes et aux nations de désamorcer des conflits pour parvenir à une coopération bénéfique à tous les acteurs ».L’anthropologue américain WILLIAM URY l’affirme dan l’un de ses ouvrages d’édition récente intitulé : « COMMENT NEGOCIER LA PAIX : DU CONFLIT A LA COOPERATION CHEZ SOI, AU TRAVAIL ET DANS LE MONDE ».Cela se vérifie au sein de la société traditionnelle des Bochimans, un peuple d’Afrique australe (dans le désert de Kalahari, en Namibie) établi sur le continent probablement à l’âge de la pierre taillée.


Déclaration des ONGs de la Société Civile de la RDC sur les récents évenements de Bukavu

Nous, Organisations non Gouvernementales de la Société Civile / Forces vives de la République Démocratique du Congo, réunies à Kinshasa du 29 février au 04 mars 2004 pour examiner en profondeur la situation politique et sécuritaire du pays en général et de sa partie Est en particulier ;

CONSIDERANT LES FAITS GRAVES CI-APRES :

1. La découverte, les 05 et 20 février 2004, par le Commandant de la 10ème Région militaire du Sud-Kivu basé à Bukavu de plusieurs caches d’armes, notamment aux domiciles de l’Abbé Michel BUROKO et du Major KASONGO ;

2. L’existence dans la province du Nord-Kivu des caches d’armes ( dans des dépôts à Goma, à Rutshuru, à Mweso dans le territoire de Masisi, …) et la dénonciation des diverses autres caches confirmées par plusieurs sources dignes de foi dans d’autres provinces du pays ;

3. La poursuite de recrutements forcés des enfants par les milices des Gouverneurs Xavier CIRHIMWAMI du Sud-Kivu et SERUFULI du Nord-Kivu, au lendemain de l’accord global et inclusif, au vu et au su de la MONUC ;

4. La libération aussitôt après son arrestation le 21 février 2004 et son transfert à Bukavu du Major KASONGO, à la suite des pressions exercées par la MONUC et le RCD-Goma ;

5. La chasse à l’homme déclenchée contre le Général Prospère NABIOLWA, Commandant de la 10è Région militaire actuellement en clandestinité, l’assassinat de ses deux gardes de corps, de son chauffeur et la déportation au Rwanda de plusieurs de ses collaborateurs au vu et au su de la MONUC ;

6. La présence de l’Armée Rwandaise au sud-Kivu, au Nord-Kivu, dans la province orientale et au Maniema sous le regard de la MONUC;

7. Le pillage en date du 25 février 2004 de la Banque Nationale du Congo, succursale de Bukavu par des hommes en armes venus du Rwanda ;

Prenant nos responsabilités civiques devant Dieu, la Nation et l’histoire;


LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT JOSEPH KABILA DE LA RDC

Objet :
Lettre Ouverte au Chef de l'Etat : Rupture de paix au sud-kivu et réoccupation de la République Démocratique du Congo par l'Armée Patriotique Rwandaise.

A Son excellence Joseph KABILA
Président de la République
Démocratique du Congo à
Kinshasa - Gombe.

Excellence Monsieur le Président,

C'est avec tristesse et profonde déception que nous vous adressons la présente lettre ouverte dont l'objet repris en marge relatif à la situation qui prévaut actuellement dans la province du Sud-kivu.


APPEL A LA MOBILISATION GENERALE DE LA JEUNESSE CONGOLAISE POUR LA PAIX ET LA DEMOCRATIE EN RDC

La Patrie est vraiment en danger, le processus démocratique menacé et la souveraineté Nationale noyautée.
Mobilisons-nous aujourd’hui plus que jamais pour faire échec à tous les plans endogènes et exogènes de la balkanisation et d’exploitation à souhait de la République Démocratique du Congo.
Soyons très vigilants et prêts à agir à tout moment et en tous lieux individuellement et collectivement pour sauver le processus démocratique aujourd’hui menacé et pourtant acquis au prix de multiples sacrifices.
La Défense Nationale et le sauvetage de la patrie constituent des devoirs civiques que nous devons accomplir en tout temps.


Vision de la société sur nos ONG et autres mouvements associatif

Pour ce faire , la J.A. encourage les ONG à s’impliquer dans l’organisation des activités populaires a impact directe sur la population environnante dans le but du réarmement morale de la conscience collective ; une notion qui ne doit pas échapper aux congolais de tout bord. « Lettré ou non lettré, primai rien ou docteur à thèse , dirigé ou dirigeant. »
C’est pourquoi les échanges francs et périodique entre ONG de même secteur sont encouragé par notre comité dont les membres se retrouvent ainsi parti intégrante dans plusieurs regroupements ou réseau dans le but de stimuler « comme un taon stimulerait un cheval, grand et de bonne race, mais un peu mou en raison même de sa, taille, et qui aurais besoin d’être exciter »(voir SOCRATE ) , toute une génération pour laquelle nous servons d’exemple.


Notions fondamentales sur les conflits

Les conflits, depuis des temps immémoriaux, opposent des individus et déchirent des communautés humaines. Au jardin d’Eden par exemple, une querelle éclata entre Dieu et ses créatures – Adam et Eve – puisqu’elles transgressèrent le commandement divin , sous l’influence du serpent (diable), en mangeant le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Michaël Rosenberg, président d’une entreprise américaine spécialisée dans le service des repas à domicile, déclare, pour sa part : « Les conflits qui éclatent chez mes commerciaux ont souvent pour origine des désaccords sur l’attribution des clients et des secteurs. Cet entrepreneur affirme qu’il leur demande de mettre fin à leurs querelles soit en procédant, à l’amiable, à des échanges des clients , soit en travaillant en équipe. Quelle est alors la meilleure façon d’appréhender les conflits qui se déclenchent au sein de la société (communauté humaine) pour mieux les gérer ?


Les évêques adressent un mémorandum au Secrétaire général des Nations Unies.

Le comité permanent de la conférence épiscopale nationale du Congo a adressé le 14 Février 2004, un mémorandum au Secrétaire général des Nations Unies.
C’était à l’issue de sa réunion tenue au centre interdiocésain de Kinshasa du 9 au 14 février dernier. Les évêques, solidaires de la souffrance qu’endure le peuple congolais depuis le déclenchement en 1996 d’une longue guerre, expriment au Secrétaire général de l’Onu toute la reconnaissance du peuple envers le système des nations Unies et présentent ensuite le triste bilan de la guerre, leurs préoccupations au sujet de la paix et de la justice en Rdc ainsi que dans la sous-région des grands lacs. Ils font enfin quelques suggestions pour une paix durable.


LE MONDE DES ONG N° 18


  • PREMIERE SESSION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DU CNONGD
  • MISE EN ROUTE D'UN PROJET D'APPUI A LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION EN RDC


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