République Démocratique du Congo : Danses, musique et boissons alcooliques 24 heures sur 24 et en tous lieux.

Le 31 mai 1975, le Général de Corps d’Armée Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Za Banga, alors Président du Zaïre, avait signé l’Ordonnance n° 75/153 réglementant les heures d’ouverture des débits de boisson et portant interdiction des night-clubs sur toute l’étendue de la République. Jamais abrogée, cette Ordonnance continue d’être violée au détriment de la santé physique et mentale de la population, ainsi qu’au marasme économique du pays tout entier.


Cour pénale internationale : L’affaire Thomas Lubanga expliquée dans le rapport annuel 2005-2006 de la juridiction

La Cour a levé les scellés sur ses premiers mandats d’arrêt en octobre 2005. La première personne arrêtée en exécution d’un mandat délivré par la Cour a été placée sous sa garde après transfert en mars 2006. Des audiences de mise en état et d’appel ont eu lieu en vue de procès qui devraient commencer à la fin de 2006 ou au
début de 2007


RD Congo : Agression d’un proche du président de la République à Londres

Léonard SHE OKITUNDU, Directeur de cabinet à la Présidence de la République de la RD Congo a été l’objet d’une agression, mercredi 11 octobre 2006 à Wembley, une ville britannique, indique Journaliste pour la promotion et la défense des droits de l’homme (JPDH), organisation indépendante des droits de la personne, de lutte contre l’impunité et de développement démocratique.


Rapport sur les Droits Humains :« La population de Kalonge fait partie des personnes que les armes tuent chaque jour ».

La Collectivité - chefferie de Kalonge située à 64 km de la ville de Bukavu, Province du Sud- Kivu, à l’Est de la R D Congo a toujours été la cible des exactions perpétrées par la circulation et l’usage abusive des armes légères et de petit calibres (ALPC). Ces dernières sont détenues illégalement et utilisées abusivement par les militaires démobilisés et auto démobilisés des forces armes de la R D Congo (FARDC) d’une part et par des forces de libération du Rwanda (FDLR), Interahamwe qui logent dans les forets environnant cette chefferie et dans le Parc National de Kahuzi Biega (PNKB) ou les armes se substituent à l’autorité de la loi.
Malgré la présence des militaires de la FARDC censées sécuriser la population, les exactions se commettent aux environs de leurs positions.
L’opinion se souviendra des massacres qui se sont perpétrés à Ntulu Mamba en Juillet 2005 par les Interahamwe ou l’on a enregistré un lourd bilan de 41 personnes brûlées vives dans leurs maisons, dont 17 enfants, 20 femmes et 4 hommes, 61 maisons incendiées, 4 hommes emportés et assassinés en plein parc et 23 femmes et filles violées.
En février et mars 2006, les militaires de la FARDC ont été auteurs de cas de viols, de pillages et des tracasseries aux barrières d’une part et les Intrahamwe qui ont excellé dans le pillage, viols, destructions des maisons, prises en otage des femmes et filles, déplacements des populations,… d’autres part.


Assistance aux enfants de parents morts du VIH/SIDA

Unissons nous pour aider les enfants orphelins de PVV


Rapport de Amnesty International: RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO: Les enfants soldats laissés à l'abandon

Plus de deux ans après le lancement par le gouvernement d'un programme national visant à démobiliser les enfants soldats et à les réinsérer dans la vie civile, 11000 d'entre eux au moins sont encore dans les rangs de groupes armés, ou ne donnent pas signe de vie. Un important rapport publié aujourd'hui par Amnesty International souligne que le programme officiel de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) n'apporte pas aux enfants la protection et le soutien dont ils ont besoin.

De nombreuses filles ont été enlevées par des groupes armés opérant en RDC ; dans la majorité des cas, on ne sait pas ce qu'elles sont devenues. Soit elles ont été abandonnées, soit on les a considérées à tort comme «personnes à charge» de combattants adultes. À ce jour, le gouvernement n'a pris aucune mesure pour retrouver la trace des enfants disparus.


AMP et alliés, UN et le 2ème tour des présidentielles

Le peuple –souverain primaire- a imposé un double tour des élections, à l’Assemblée nationale –chambre basse- du parlement, puis à l’élection présidentielle. Le deuxième tour à l’Assemblée nationale a eu lieu. La seule différence est qu’à la chambre basse du parlement, ce sont les députés élus, qui ont «voté», par un jeu d’alliances au deuxième tour, pour élire une majorité absolue. Des le départ, les stratèges de l’Alliance pour la Majorité Présidentielle (AMP) et du Regroupement des Nationalistes Congolais (RENACO) avaient annoncé la couleur : ratisser le plus largement possible pour constituer une mega-coalition. Le deuxième tour a la chambre basse s’est soldé par la victoire de l’AMP et alliés qui comptent plus de 300 députés sur 500 ; largement au dessus des 251 sièges requis pour avoir la majorité absolue a l’Assemblée nationale (voir section : l’AMP obtient une mega plate-forme et gagne le deuxième tour a l’Assemblée nationale).


ELECTION EN RD.CONGO.

La presse internationale (écrite et audio-visuelle) a couvert la campagne électorale en RDCongo. Une chose est certaine: le soudain regain d’intérêt de la presse internationale -surtout occidentale- sur notre pays (après des années de disette et de quarantaine), laisse beaucoup des compatriotes dubitatifs, perplexes voir pantois. Avec un brin de schizophrénie, la suspicion s’installe et alimente une iconoclaste frénésie auprès de certains compatriotes ou l’invective rivalise avec l’anathème, l’épithète s’oppose à la démonstration, le dénigrement sectaire communie avec le négativisme partisan. Les résultats officieux qui pullulent (des le lundi 31 Juillet 06 : des chiffres a niveau et en pourcentage), jugés fantaisistes par les uns, authentiques par les autres –repris par certains medias étrangers- ne sortiront pas la suspicion envers la presse occidentale (selon le camp ou on se trouve) de sa chrysalide cotonneuse.