Droits de la personne

Tuéries au Camp Kapilapila

« Journalistes pour la promotion des droits de l’Homme », Jpdh en sigle exprime ses inquiétudes à la suite des tueries enregistrées, entre le 29 mars et 05 avril 2005, au camp Kapilapila, au Sud-Kivu.


Territoire de Kabare : les exactions ne connaissent pas de répit:Après des atrocités des miliciens rwandais, les populations subissent la loi des FARDC impayée

Que choisir entre deux maux

Le mercredi 13/03/2004, des crépitements d’armes légères ont été entendus entre 14 et 15 heures dans les localités d’irongo et Busege situés respectivement dans les groupements de Bushwira et Cirunga en territoire de Kabare. Ces coups de balles ont été tirés par deux éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) en provenance du village de Cibingu, groupement d’Irhambi-Katana en territoire précité.

Des informations en notre possession renseignent que ces deux militaires ont assiégé les habitations des sieurs Maurice Lwalunaga et Sébastien Ciroyi, tous deux habitants du village Musimbo dans la localité de Bushwira-centre dans lesquelles ils ont spolié habits et chaussures.

Lorsque ces forfaits ont été commis, les voisins alertés , ont accouru et se sont lancés aux trousses de ces deux militaires indisciplinés. Bien que ceux-ci aient tiré des balles dans tous les sens pour disperser la population en furie, ils ont fini par être appréhendés et acheminés auprès de leur commandant basé à Misihe en groupement de Cibingu-Cirunga.


Des militaires qui se trompent d’adversaires:Faute de solde, des éléments des FARDC se rabattent sur la population civile

Dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 avril 2005, vers 5H00 du matin, la famille de monsieur Godefroid Muhivwa, Député à l’Assemblée nationale de Transition, a été agressée par des hommes armés soupçonnés d’être des éléments des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Les victimes résident sur l’avenue Muhungu/SNEL dans le quartier Ndendere en commune d’Ibanda à Bukavu. La scène s’est soldée par une rafle d’un sac à main contenant une somme d’argent en Francs congolais équivalant à 50 $US et plusieurs reçus de tontine représentant un montant qui n’a pas été révélé ainsi qu’un trousseau de clés.

Après le départ des malfrats, les infortunés ont commencé à pousser des cris, ce qui a amené les agresseurs à tirer deux balles en l’air. Dans leur fuite, l’un d’eux à laissé tomber son képi que trois militaires sont venus réclamer au lever du soleil, vers 7H00. Saisie de peur, madame Muhivwa a dû leur remettre cette pièce à conviction.


droit de la femme: de discrimination en deni de droits

la 61ème session de la commission sur les droits humains des Nations Unies se tient du 14 avril au 22 avril 2005 mais deja des etats conservateurs nient la notion du viol conjugal et essaie de le sortir des textes futures


Communiqué de presse n°121/JPDH/2005

Jed et ses animateurs menacés de mort

« Journalistes pour la Promotion des Droits de l’Homme », Jpdh, organisation non gouvernementale de promotion et de défense est vivement préoccupé des menaces de mort qui pèsent sur les animateurs de l’Ong « Journaliste en danger » Jed.


Communiqué de presse n°120/Jpdh/2005

« Journalistes pour la Promotion des Droits de l’Homme », JPDH, Organisation non gouvernementale de promotion et de défense des droits de l’homme et de développement démocratique en RD Congo exprime ses vives inquiétudes à la suite d’un acte d’enlèvement dont est l’objet le pasteur José Kavungu Nsimba, pasteur de l’Eglise « La Semence de Dieu » en date du 10 janvier 2005.


L’enfant Magumu Mukokolo a été fusillé à mort par le militaire Bisimwa de la 10è brigade des FARDC à Mutarule dans la Plaine de la Ruzizi

Dans la nuit du samedi 2 avril 2005, vers 19 heures 30, le jeune garçon Magumu Mukokolo âgé de 12 ans, fils de Mukokolo résidant à Mutarule dans la Collectivité Plaine de la Ruzizi en territoire d’Uvira a été froidement assassiné par balle par le militaire congolais Bisimwa, garde de corps du Commandant Dany du bataillon 1012 commandé par le Capitaine Sungusungu. Ce bataillon est l’un de ceux qui composent la 10è brigade dirigée par le Major connu sous le nom de Pyrence fortement décrié par les populations locales.


Le pouvoir au bout du canon:L’arbitraire militaire supplante le droit et l’autorité civile en Territoire de Mwenga au Sud-Kivu

Le territoire de Mwenga, l’un des plus géologiquement riches et enviés de la Province du Sud-Kivu, est en proie des forces et groupes armés qui y font régner l’arbitraire dans tous les domaines de la vie. Les hommes en armes des différentes entités compasant l’actuelle armée congolaise régulière, ceux résiduels des milices étrangères rwandaises Interahamwe commettent des sévices sur les populations comme à l’époque du temps de la rébellion.


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