Kinshasa
Voici ce qu’a été la campagne nationale sur les violences faites aux femmes en temps de guerre au Katanga.
Soumis par CONAFED le Mer, 19/02/2003 - 14:48« Femmes contre les violences liées à la guerre » tel était le thème de la campagne nationale lancée officiellement par le Comité National Femme et Développement (CONAFED) à Kinshasa, le 1er mars 2002. La campagne dont le déroulement était prévu du 1er juin au 31 décembre 2002, avait entre autres comme objectifs de recueillir les témoignages des femmes victimes des différentes formes de violence et de dénoncer les atrocités commises à l’égard des femmes congolaises dans les zones de conflits, particulièrement le cas des femmes enterrées vivantes à Muenga, au Sud-Kivu, en novembre 1999.
Dans le cadre de cette campagne, le Réseau Femme et Développement (REFED) de la province du Katanga, présidé par Madame Régine SIYAPATA KILANGA, a travaillé du 20 avril au 7 juin 2002. Il se dégage du rapport établi à cet effet que dans le Katanga, on dénombre trois catégories des femmes victimes des violences liées à la guerre.
ATELIER SUR LES SAVOIRS ENDOGENES ET LES ALIMEDICAMENTS EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
Soumis par UFCD le Ven, 14/02/2003 - 17:19Cet atelier qui était organisé du 23 au 24 décembre 2002 à l’ERAIFT/université de Kinshasa par la chaîne - UNESCO/Savoir endogène et développement en Afrique avait comme objectifs :
1. Définir un monitoring de recherche sur les technologies alimentaires traditionnelles ;
2. Dresser un état des lieux des technologies alimentaires en République Démocratique du Congo ;
3. Définir les axes de valorisation des technologies alimentaires locales ;
4. Analyser les modalités d’amélioration des technologies alimentaires traditionnelles ;
5. Créer une synergie d’actions entre les populations locales et le monde industriel ;
Le CENADEP à la rescousse des populations de Barumbu
Soumis par CENADEP le Mer, 12/02/2003 - 17:06Le Centre national d'appui au développement et à la participation populaire (Cenadep), Ong de droit congolais a organisé du 29 au 31 janvier 2003 à la paroisse Saint Eloi de la commune de Barumbu, un atelier d'appui à l'élaboration d'un cadre des droits de l'homme et de la démocratie participative dans les entités décentralisées de cette municipalité.
Cet atelier qui s'adressait à plus de quarante participants triés au volet parmi les acteurs de développement de cette entité (mouvements associatifs, chefs de quartier et représentants de la commune) a débouché sur la mise en place d'un cadre pour le plaidoyer en faveur des droits de l'homme et de la démocratie participative à Barumbu. Ce cadre est même appuyée par une programmation des activités à laquelle tout le monde attend apporter sa contribution. Plusieurs thèmes ont été décortiqués durant trois jours.
La VsV dénonce la persécution des défenseurs des droits de l’homme par le Rcd/Goma
Soumis par Ailleurs sur le Web le Mer, 12/02/2003 - 10:19La traque et la persécution contre les défenseurs des droits de l’homme et les membres de la société civile de la part des chefs militaires des mouvements armés qui contrôlent l’Est et le Nord-Est de la Dc continuent à faire des victimes. C’est ce qui ressort d’un communiqué de la voix des sans Voix pour les droits de l’homme (VsV) daté du 9 février qui indique que sept membres du Groupe Lotus basé à Opala, localité située au Sud-Ouest de Kisangani, dans la province Orientale ont été arrêtés. Il s’agit ,notamment, de M. Jonas Yen Asambi, président de l’Ong Radio rurale, Mme Eugénie Loyombo, directrice d’école maternelle à Opala, MM. Ofafele, préfet de l’Institut technique médical d’Opala, Paul Ayaka, diacre de la communauté protestante, Okinani, catéchiste de l’Eglise catholique, Mambele, animateur social et Fany Yeni Loola, professeur au collège catholique d’Opala.
L’Ongdh «Toges noires » déplore les exactions de l’Ituri
Soumis par Ailleurs sur le Web le Jeu, 30/01/2003 - 12:15Mme Marie Ange Bampeledi vient de signer, pour le compte de l’Ongdh, « Toges noires», une déclaration dans laquelle son organisme de promotion et de défense des droits de l’homme déplore les « crimes odieux survenus dans le Nord Est du pays, particulièrement dans le district de l’Ituri ».
Tout en exprimant sa profonde indignation vis-à-vis de ces actes de violation massive des droits de l’homme, « Toges noires », exige qu’une commission d’enquête indépendante soit rapidement constituée afin d’établir les responsabilités et que les auteurs matériels et intellectuels de ces crimes soient identifiés et traduits dans les meilleurs délais devant les instances judiciaires.
Droits de l’homme en Rdc : bilan accablant de la «Vsv» pour l’année 2002
Soumis par Ailleurs sur le Web le Jeu, 30/01/2003 - 12:07Des centaines de personnes arrêtées dont des journalistes et des hommes politiques
De nombreux cas de violation massive des droits de l’homme ont été répertoriés par l’organisation non gouvernementale de défense des droits de l’homme (Ongdh) dénommée «La Voix de sans voix pour les droits de l’homme (Vsv)» au cours de l’exercice 2002. Cette Ongdh a passé en revue tous les cas d’arrestation, d’emprisonnement, de tracasseries policières et de bavures administratives commis contre des citoyens, souvent sans motif valable et sans avoir été entendus.
Dès le 10 janvier 2002, la Vsv a déploré le cas de l’arrestation de M. Justin Nindaga Lwambibi, membre de la famille de Anselme Masasu Nindaga. Civil de son état, écrit la Vsv dans son rapport, Justin Nindaga a été fait « prévenu personnel du Procureur général près la Cour d’ordre militaire (Com) ». Auditionné à plusieurs reprises par les magistrats de la Com, son interrogatoire tournait autour de ses activités et de ses relations avec certaines personnalités civiles et militaires originaires de la province du Kivu. A la publication de son rapport le 17 décembre 2002, cette Ongdh précise que l’infortuné venait de totaliser 10 mois de détention au cachot de l’Inspection provinciale de la police de Kinshasa (Ipk), sans connaître le motif de son arrestation.
La Vsv dénonce la violation des droits de l’homme à l’Equateur et au Nord-Kivu
Soumis par Ailleurs sur le Web le Jeu, 30/01/2003 - 11:58La Voix des sans voix pour les droits de l’homme (Vsv) se déclare « choquée par la condamnation à cinq mois de prison ferme de M. Albert Mbayango, responsable de l’Ogndh Comité des droits de l’homme et des citoyens, basée à Bumba, province de l’Equateur en Rdc, par la Cour d’ordre militaire du Mouvement de libération du Congo (Mlc) ». Cette condamnation est intervenue le 14 janvier 2003.
Dans une déclaration remise à Le Potentiel, la Vsv qui dénonce les violations des droits de l’homme commises dans cette province indique que l’infortuné a été condamné pour « incitation de la population à la révolte ». Mais d’après la Vsv, l’acharnement des responsables du Mlc sur Albert Mbayango est parti du fait qu’un combattant du Mlc aurait abattu à Bumba un jeune homme qui accompagnait sa sœur à l’hôpital. Ce dernier se serait opposé au rançonnement d’un groupe de combattants à une barrière. Le corps de la victime aurait été traîné dans la rue pendant quelques jours. Choqué de cet événement, M. Albert Mbayango aurait mobilisé la population de Bumba à contraindre l’autorité locale du Mlc de prendre en charge les frais funéraires de la victime et de poursuivre le combattant fautif. Le refus du représentant du Mlc à Bumba de supporter les frais funéraires aurait poussé la population de cette ville à improviser une marche de protestation qui s’est soldée par la casse de la prison de Bumba et la libération des détenus. Courroucés, les responsables du Mlc auraient attribué ces incidents au défenseur des droits humains et ordonneront par la suite l’arrestation de Albert Mbayango et sa mise à la disposition de la Com.
DROIT A UNE BONNE MEDIATION
Soumis par BOR le Mar, 28/01/2003 - 17:33DROIT A UNE BONNE MEDIATION :
THEORIE ET PRATIQUE POUR LA RESOLUTION DES CONFLICTS
0. Introduction
Depuis un temps beaucoup de pays à travers le monde et particulièrement les pays africains sont en situations confuses caractérisées par des crises multiformes et qui nécessitent une résolution à l'amiable étant donné que la violence n'a pas pu réussir à le faire.
La guerre n'étant pas nécessairement une solution aux conflits, les hommes ont pensé qu'il y a moyen de passer par d'autres mécanismes dont la médiation pour construire une paix durable. Ce schéma a fait ses preuves ailleurs comme en République Sud Africaine pour mettre fin au système de l'Apartheid et récemment en Sierra Leone lors des récentes élections démocratiques, pour ne citer que ces deux cas. On croirait aujourd’hui que la Côte d’Ivoire, grâce à la médiation française qui a supplanté la démarche de la CEDEAO, recouvrera la paix d’ici là comme d’aucuns l’avaient cru pour le Burundi et la RDC où les médiations de type international s’embrouillent dans des questions purement nationales.
