Kinshasa

Sur invitation de la « Commission Justice et Paix » de l’Université de Kinshasa qui organisait un séminaire – atelier avec pour thème « Apport de la Communauté Universitaire au processus électoral en RDC », la Coordination de la NPDAC/ONG, qui est un centre des recherches sur des questions de paix et sécurité en Afrique Centrale, a eu l’honneur d’exposer, au début du mois, à la bienveillante attention des séminaristes, sur les aspects sécuritaires de prochaines consultations électorales dans le pays.

Ce sont les séro-ignorants qui sont le principal maillon de transmission du virus du sida. Et puisque l’arrêt de la propagation de la pandémie passe par la rupture de la chaîne de contamination, c’est donc sur les séro-ignorants que les efforts doivent se porter.
C’est dans cette logique que s’inscrit la dernière action de sensibilisation menée par le Centre de Développement pour la Femme (CDF/Fondation) organisée le vendredi 21 mai 2004 au Centre Bomoto de Matonge à Kinshasa. 113 femmes venues des 11 antennes du CDF dans la ville de Kinshasa ont participé à cette « journée de sensibilisation et de dépistage volontaire du vih/sida » animée par le Dr Kashosi Kash du Centre Bomoto.

Dans notre article « APPRENTISSAGE DE L’INFORMATIQUE : CENTRES DE FORMATION OU CENTRES D’INFORMATION ? », publié sur le Portail en date du 05 mai dernier, nous sommes parvenus au constat suivant : la formation est en total déphasage avec le besoin réel de la société congolaise. Plus grave, les récipiendaires connaissent beaucoup de concepts informatiques d’une manière théorique mais sont incapables de prester valablement sur ordinateur. D’où, cette exclamation : Centres d’information et non Centres de formation !
En partenariat avec des hommes soucieux d’une part de préserver la qualité de la formation et, de l’autre, d’accorder une seconde chance aux couches défavorisées de la population, AVIE a ouvert un Centre de formation dénommé « Maison SIP Formation ».

La Localité congolaise de Léméra occupée par des rebelles Hutus rwandais

Nécessaire au développement de la croissance, du pouvoir d’achat et de l’emploi, au renouvellement du tissu économique et à la vitalité des territoires, les entreprises nouvelles représentent la vraie richesse d’une nation. Malheureusement, en République Démocratique du Congo, peu nombreuses sont les entreprises nouvelles créées chaque année. A la base de cette situation, l’aversion du risque chez beaucoup de congolais, ce qui ne les incite guère à entreprendre.

Les réunions de sensibilisation, les Mercredi de l’entreprise, que le centre national pour la promotion de l’entreprise se propose d’organiser, vise à susciter des vocations d’entrepreneur et donner le goût d’entreprendre au maximum de congolais, tout en les informant sur les risques attachés au métier de créateur d’entreprise.

Plaidoyer pour une représentation féminine équitable aux services publics de l’Etat

Excellence Monsieur le Président de la République,

Par la présente, nous avons l’honneur de venir auprès de votre haute autorité afin de vous demander d’user de vos pouvoirs pour garantir une représentation équitable des femmes aux postes de responsabilité des services publics qui seront pourvus incessamment, en exécution de l’accord global et inclusif ainsi que de votre Feuille de route de la transition.

Plaidoyer pour une représentation féminine Equitable aux services publics de l’Etat

Excellences Messieurs les Vices-Présidents de la République,

Par la présente, nous avons l’honneur de nous adresser à votre haute autorité, en votre double qualité de Vice-Président de la République et un des responsables attitrés du Gouvernement de transition, aux fins de vous demander d’user de vos pouvoirs pour garantir une représentation équitable des femmes aux postes de responsabilité des services publics de l’Etat qui seront pourvus incessamment, en exécution de l’accord global et inclusif.

LES DROITS DE LA VEUVE APRES LE DECES DE SON MARI

Les faits que nous vivons tous les jours lors du décès, des funérailles, appellent une profonde réflexion sur les droits qu’on a sur les biens des membres de la famille décédés.
En RDC, on croirait que la veuve n’a pas des droits sur la succession de son défunt mari car lors de l’enterrement elle en sort toujours victime. On assiste très souvent à des disputes, des bagarres, de confiscation des biens…
Ainsi, la veuve et les orphelins se retrouvent souvent dans la rue ne sachant quoi faire. Bien que le code de la famille protège les uns et les autres en matière des successions, nous remarquons que les us et coutumes y oppose une farouche résistance.