Sud Kivu

NINDJA SOUS LA BARBARIE DES AFDLR* ET DES RASTAS*

Les rescapés de Nindja racontent et s'interrogent


NINDJA SOUS LA BARBARIE DES AFDLR* ET DES RASTAS*

Les rescapés de Nindja racontent et s'interrogent


TUJUWE ZAIDI No 14 ou SAVOIR PLUS

Depuis que les enfants ont commencé à participer activement dans tous les conflits en RD Congo, leur sort devient de plus en plus inquiétant.
Malgré les efforts entrepris, les pressions tant au niveau local, national et international pour retirer et libérer les enfants des forces et groupes armés, l’armée de la R D Congo fait fi de l’existence des instruments juridiques nationaux et internationaux, accords, résolutions et la constitution du pays.
Les autorités de la R D Congo ne fournissent aucun effort pour aider les enfants à ne plus faire partie de l’armée depuis la fin des hostilités.


Quid de la Démobilisation sans Réinsertion sociale des enfants ex-soldats par la CONADER

Depuis ce matin du vendredi 27 mai 2005, des dizaines d’enfants ex-soldats en colère démobilisés de l’armée congolaise à partir de la ville de Moanda en province du Bas-Congo sont attroupés devant les bureaux de la CONADER/Bukavu sis à Nyawera en commune d’Ibanda à Bukavu.

Les informations recueillies auprès des enfants démobilisés disent qu’une promesse de recevoir une aide substantielle leur aurait été donnée une fois arrivés au Sud-Kivu, leur province d’origine.

Curieusement, les bureaux de la CONADER/SUD KIVU ne seraient pas encore en possession de quoi satisfaire ces enfants. L’inquiétude monte de jour en jour d’un cran dans la mesure où ces démobilisés accueillis dans le Centre de Transit et d’Orientation ( CTO ) géré par l’asbl BVES, situé à Nguba dans la commune d’Ibanda. se montrent menaçants devant les responsables de cette structure.


La population de Nindja paie les frais des combats entre groupes armés rwandais FDLR et Rasta

Dans la nuit du 24/05/2005, un groupe armé communément appelé Rasta composés de Hutus rwandais et de Congolais ressortissants d’Izege, Walungu et Kaniola dans le territoire de Walungu ont attaqué la localité de Buhira, groupement d’Ihembe en collectivité-chefferie de Nindja, territoire de Kabare. Les premières informations nous parvenues font état d’une dizaine des personnes attrocement tuées et de plusieurs autres enlevées. Des nombreux cas de blessés sont également signalés.


L’Etat congolais tue silencieusement sa population: Les FARDC dépourvues vivent aux dépens des civils

Les habitants de la province du Sud-Kivu à l’Est de la République Démocratique du Congo, principalement ceux des zones rurales, ne cessent de fustiger les supplices que leur font subir des éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) notamment. En ville comme en campagne, l’on signale au quotidien des rafles des biens sur les passants, l’humiliation de ces derniers, des incursions nocturnes dans les domiciles soldées par des vols et parfois des assassinats. Des militaires réduits à la mendicité sont en errance. Des récoltes destructives effrénées des champs des paisibles paysans par des hommes de troupe font l’objet de nombreux rapports.


L’ASSOCIATION DES SCOUTS DU SUD-KIVU (ASSK) A UNE NOUVELLE EQUIPE DIRIGEANTE

Il s’est tenue du vendredi 29 avril au dimanche 1er mai 2005, au centre Emmaüs de MBOBERO, la 5è conférence Provinciale élective de l’ASSK. Au cours de ces assises ont été révisé les règlement d’ordre intérieur et l’exploitation de la nouvelle politique de la fédération des scouts de la RD Congo FESCO.


La guerre des maisons à Bukavu entre le Pouvoir provincial et la SOMINKI:Mieux vaut paix que victoire

Dans la matinée du mardi 12 avril 2005, à partir de 8h00, une dizaine de policiers ont investi le camp des agents de l’ex-Société Minière et Industrielle du Kivu (SOMINKI), situé sur l’avenue de la Montagne ( Milima) à Nguba dans le quartier Nyalukemba en commune d’Ibanda à Bukavu. L’objectif était de déloger les familles des travailleurs de cette entreprise en liquidation qui habitent encore en ce lieu. Principalement, quatre habitations ont été prises pour cible. Il s’agit de celles de Messieurs Charles Nalwango El-Wakwankusu, Kinsembe Musililwa et Kibukila Joseph et madame Bibiche Kafunu Carine. Ces infortunés sont respectivement Chef de transit de la SAKIMA (Société Aurifère du Kivu et du Maniema), agent d’exécution et fils du feu chauffeur Kibukila Mashimo tué en 1998 à Luhwinja alors qu’il était en mission de service, une locataire non autrement identifiée.


Syndiquer le contenu