Paix et démocratie

LA POPULATION DE KALEHE DENONCE LES EXACTIONS PERPETREES PAR LES HOMMES DE LAURENT NKUNDABATWARE DANS LEUR MILIEU

Après la reprise du contrôle de la ville de Bukavu par la force régulières, les hommes du Général Nkundabatware sèment la terreur à Kalehe.


DECLARATION DES ASSOCIATIONS, ONG ET COMITES D’INITIATIVES LOCALES DU COECA asbl

Relativement à la situation de précarité et d’insécurité qui prévaut à Bukavu, Province du Sud-Kivu, les associations, Ong et Comités d’Initiatives Locales membres du COECA asbl réunis sous la présidence du Modérateur du Conseil d’Administration rendent publique la présente déclaration :


Bukavu est tombé, mais les Bukaviens sont débout !

Le Bukaviens sont débout grâce au soutien, exprimé de plusieurs manières, dont ils ont bénéficié de la part de leurs compatriotes, à travers le pays et le monde.


Occupation de Bukavu par les Rwandais : le ras-le-bol de la jeunesse congolaise.

A l’annonce ce mercredi matin, 2 juin 2004, de l’occupation de la ville de Bukavu, chef lieu de la province du Sud-Kivu, par les militaires mutins appuyés par les Rwandais, les réactions ne se sont pas fait attendre. Celles des étudiants des Instituts Supérieurs et des Universités à travers le pays ont attiré l’attention de l’opinion tant nationale et qu’internationale. Qu’est-ce qui s’est passé au juste au regard des hésitations complices du porte-parole de la MONUC, en rapport de l’occupation de Bukavu par les Rwandais ?


Le Kivu est occupé par le Rwanda et allié : les responsabilités.

L’occupation du Kivu, ce 02 juin 2004, par le Rwanda et allié à l’issue des combats qui n’ont duré qu’une semaine, était prévisible. Pour une bonne partie de l’opinion nationale, les responsables de ce nouveau défit au peuple Congolais ne sont pas à chercher dans une entournure. Ils sont là : l’ONU (MONUC) et la Communauté internationale, le RCD-Goma, le gouvernement de transition, certains Congolais.


RDCongo aujourd'hui: Etat de siège, état d'urgence,...

Par leur définition, l'état de siège est un régime restrictif des libertés publiques décrété sur tout ou partie du territoire en cas de menace étrangère ou d'insurrection et caractérisé par l'accroissement du contenu des pouvoirs ordinaires de police, par le dessaisissement des autorités civiles au profit des autorités militaires, et par l'élargissement de la compétence des tribunaux militaires.
L'état d'urgence, quant à lui, est un régime d'exception décrété en cas de troubles graves ou de calamités publiques, pour renforcer le pouvoir des autorités civiles.


Déclaration de la coordination de la société civile du Nord-Kivu

DECLARATION DE LA SOCIETE CIVILE DE LA PROVINCE DU NORD - KIVU SUR LA SITUATION QUI PREVAUT EN RDC EN GENERAL ET PROVINCES DU NORD ET DU SUD - KIVU EN PARTICULIER A L' ATTENTION DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA R.D.CONGO.


GESTION DU POUVOIR, DU SAVOIR, DES AVOIRS ET DU VOULOIR: UN DEFI AUX ANIMATEURS ET AUTRES ACTEURS DE LA TRANSITION EN RDC

Depuis la signature de l’Accord global et inclusif de la transition, l’entérinement de celui-ci à Sun City en avril 2003 ainsi que du projet de la constitution de la transition et du mémorandum sur l’armée par les composantes et entités au Dialogue inter-congolais, le peuple congolais a salué la fin de la guerre et le début de la paix devant passer par la connaissance de la vérité, la réconciliation et l’impunité des différents crimes de guerre, crimes contre humanité, crimes d’agression, crimes de génocide et crimes économiques, la réunification du territoire national, l’organisation des élections libres, transparentes et démocratiques et, enfin, la reconstruction du Pays. Cet Accord ainsi que la Constitution définissent les devoirs et les droits des toutes les parties impliquées, de près ou de loin, dans la gestion de la transition en RDC. A ce jour, la RDC se trouve à la croisée des chemins entre, d’une part, la gestion consensuelle de la transition conformément aux objectifs ci-haut cités, appelés « gestion des devoirs », et d’autre part, le risque de balkanisation du Pays ou de renversement de pouvoir ou de reprise des hostilités conformément aux agendas cachés des acteurs dans la crise congolaise…


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