Droits de la personne

Le motard « LA VIE » âgé de 23 ans , a été poignardé par des inciviques non identifiés dans la soirée du 23 Mars 04 sur la route allant à l’ISDR vers 19h00…

En date du 23 Mars 2004 l’association des motards de Bukavu ( AMOTBU) créée en 1998 a perdu l’un de ses membres en la personne de monsieur HAZINA BACHICHI connu sous le sobriquet de LA VIE.


La tension monte dans la ville de Bukavu de suite de la découverte d’autres caches d’armes dans le lac kivu …

La circulation illicite d’armes de guerre dépasse les limites du tolérable. En effet , il ne se passe plus un seul jour sans qu’ une cache d’ armes ne soit découverte dans la ville de Bukavu par la MONUC. Le quartier NGUBA semble battre le triste record dans ce domaine. Le mercredi 24 mars dernier deux autres caisses contenant des munitions ont été découvertes dans le lac Kivu par la MONUC aux abords du quartier NGUBA.ce sont les passants qui ont donné le signalement de cette nouvelle cache d’arme.


Arrestation et détention arbitraire d'une autorité academique

Pour avoir dénoncé la présence des troupes Rwandaises à SHABUNDA , Monsieur Charles Shabani Lubongo Se retrouve derrière les barreaux à la prison centrale de Bukavu après une incarcération de plus de semaines au cachot de la DSR Bukavu….


Kalonge sous contrôle des Interahamwe. Qui securisera la population de Kalonge si ce n’est les militaires ?

Pendant que les autorités politico – militaires de la R D Congo s’occupent des problèmes de sécurité et d’intégrité nationale dans le cadre de la réunification des institutions du pays et de la réunification des armées, les Interahamwe passent au contrôle des territoires de la Province du Sud – Kivu.


TENSION SOCIALES (ETHNIQUES) DANS LA VILLE DE BUKAVU.

Depuis l'affaire KASONGO, à BUKAVU, règne une tension forte sociale dans les écoles et les universités où les élèves BANYAMULENGES sont pris à partie par les autres élèves: menace en classe,injures, parfois même bagarre...


ASSALAK (Association des Armateurs sur le Lac Kivu) parle!

Le 04 mars 2004, les membres de l'ASSALAK, se sont adressé à Monsieur le Ministre de Transports et Communication et à Monsieur le PDG de la Régie des Voies Fluviales, tout en réservant copie à toutes les institutions de la transition, même à la MONUC (Mission d'Observation des Nations Unies au Congo). L’ASSALAK comme un seul homme dénonce à travers son mémorandum la double taxation, la surtaxation, la myriade des services et des tortionnaires militaires comme civils et les tracasseries dont les populations font l’objet aux ports et beachs de Goma et de Bukavu.


Horreur a Bunyakiri et Walungu :des femmes enceintes sont eventrees, des bebes haches, la chair humaine consommee, ...

A partir du denier trimestre 2003 a ce jour, les populations habitant les territoires de Bunyakiri et de Walungu en province du Sud-Kivu, font regulierement leobjet deattaques repetees suivies des scenes dehorreur hors de pair perpetrees par des elements armes Interahamwe et des Forces Democratiques pour la Liberation du Rwanda (FDLR).

En effet, a la suite de la conclusion en septembre 2003 des accords de paix entre les troupes autrefois sous ordre du RCD et des Mai-mai operationnels dans les territoires precites, les FDLR et Interahamwe rwandais, mecontents de ne plus beneficier de la complaisance des resistants congolais, non seulement attaquent les positions de ces derniers, mais aussi et surtout se rabattent contre les populations civiles congolaises qu’ils tuent, violent, kidnappent, torturent, pillent systematiquement ou contraignent a l’abandon d’habitations et domaines agricoles.


Le monde associatif de Bukavu en deuil, Mr Jules Mugisho de BVES abattu sauvagement au Camp militaire de Bagira

Monsieur Jules Mugisho Bashonga, 28 ans, encadreur au Centre de Transit et d�Orientation (CTO) du Bureau pour le Volontariat et l�Education Sanitaire (BVES) a �t� sauvagement abattu dans la nuit du 29 f�vrier au 1er mars 2004 dans le camp militaire de Bagira d�nomm� �Camp Musique�. La victime �tait domicili�e au N� 69 du sentier Mokoto au quartier B en commune de Bagira � Bukavu. Ses bourreaux seraient un groupe d�hommes de troupe du camp militaire de Bagira �ventuellement sous l�instigation de Madame Claire Mukaba, polici�re de profession et m�re d�une fille �g�e d�environ 16 ans.


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